La maternité de substitution, également connue sous le nom de maternité de substitution gestationnelle, est un processus dans lequel une femme (la mère porteuse) mène une grossesse et donne naissance à un enfant biologique d'une autre personne ou d'un autre couple (les parents d'intention) sans que le bébé ne possède le matériel génétique des parents d'intention. Dans ce processus, des techniques de procréation assistée sont utilisées pour implanter l'embryon dans la mère porteuse, qui accepte de mener la grossesse à terme et de remettre l'enfant aux parents d'intention après la naissance.
La légalité de la maternité de substitution varie considérablement dans le monde. Certains pays autorisent et réglementent cette pratique, tandis que d'autres l'interdisent ou l'assortissent de restrictions importantes.
Dans les pays où la maternité de substitution est autorisée, il est possible de trouver des limitations liées à l'âge, à la nationalité, des exigences spécifiques pour les modèles familiaux éligibles, des rapports médicaux obligatoires pour les parents d'intention, ainsi que des restrictions sur l'indemnisation que la mère porteuse peut recevoir, le tout dans le cadre réglementaire établi.
Il est essentiel de prendre en compte les risques potentiels liés à la maternité de substitution, notamment en ce qui concerne les complications médicales pendant la grossesse.
En ce qui concerne le risque d'attachement de la femme enceinte au bébé, nous disposons d'une équipe psychologique spécialisée qui suit l'ensemble du processus afin d'éviter cette situation.
Toutefois, il est essentiel que toutes les parties concernées comprennent parfaitement leurs rôles, leurs attentes, leurs exigences et leurs droits légaux avant de s'engager en signant un accord de subrogation.
Il est essentiel de bien comprendre le processus, en particulier l'engagement qui doit être pris pour la réussite du nouveau membre, ainsi que les problèmes qui pourraient survenir en raison d'éventuelles situations imprévues.
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